Une silhouette incandescente, d’un mouvement de hanche sensuel, irradie le coeur de l’homme insouciant. Se dessine alors à l’encre au goût essence, une histoire d’amour brûlante, puissante car éphémère, passionnante car adultère. Les scènes de Coït défilent, fulgurantes, suivies de près par l’ombre immaCULée, menaçante, qui ne lâche rien. Course poursuite électrique et suintante, rythmée par l’énergique déhanché d’une Manie Malone époustouflante, Viva Riva ! mérite ce point d’exclamation, génial et incongru, à l’image de son héros fantasmé, éternel gamin rieur au regard enfiévré, inépuisable source d’énergie barbouillée d’Or Noir.