Le mec se gave de frites, s’enfile un rail ou deux, agite sa queue au dessus d’une mer de fantasmes ringards, une goutte gicle sur le gorille en peluche qui se pète une patte contre le béton du parking surveillé par la flicaille.

Difficile de croire qu’on matte un film du mec qui a chié Bronson.
Difficile de peser la quantité de merde dans laquelle on s’enfonce petit à petit, coup foireux après coup foireux.

Punk Rock giclé Raclée

rythme fou d’aiguilles qui se plantent en plein coeur au son d’une batterie usée mais néanmoins vivante.

Virée Narcisse et Nécessaire, parfois romantique, que l’on achève dans une tombe remplie d’héroïne.

oui.