Y’a plus beaucoup de place sur mon lit, alors je pousse un cadavre d’Ours dans le vide, son museau accroche une étoile brulante, puis saigne. y’en a partout, j’étire un pan de mon pyjama pour essuyer les éclats vermeilles étalés sur mes pieds, mes orteils frissonnent, l’ongle incarné aboie une chanson mortuaire, lentement l’Ours s’écrase contre un rocher en bronze, anéanti.