Toujours partante pour une série portée par Natasha Lyonne qui a franchement l’air d’être la meuf la plus cool de cette foutue planète. CC pour Charlie Cale qui trace la route à un rythme effréné, non sans éclabousser chacune de ses rencontres de sa franchise, flanquée de sa grande gueule et ses yeux qui crépitent, parfois planqués derrière une paire de lunettes so 80’s. Là, c’est hyper bien réalisé. Je veux dire, tout y est : ça a le mordant d’une œuvre effrontée, ça a la gueule d’une série bien cadrée, la directrice de la photographie peut se toucher autant qu’elle souhaite, elle a des doigts et des pupilles de feu.