Nuits d’ivresse printanière  élixir rare, chaud comme le miel, déboussolant comme l’alcool, beau comme un tableau de maître se savoure un soir d’été.

quitte à ne vivre qu’une fois, autant vivre à fond, les corps se meuvent dans cette Chine autoritaire un peu à la façon de l’encre sur la peau de Jiang Cheng

Esprits passionnés, corps emmêlés
tout – jour
âmes damnées à la recherche de l’Autre qui ne viendra jamais